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Vous trouverez sur ce site quelques unes de mes pages d'écriture. J'évite, pour certaines, de les appeler mes poèmes ou mes citations. Je laisse cette appellation aux grands noms de la littérature :

(Journée de la Francophonie : 21 mars 2005) 

Léopold Sédar Senghor (1906 - 2001)

Jacques Prévert (1900 - 1977)

Paul Eluard (1895 - 1952)

 Guillaume Apollinaire (1880 - 1918)

Charles Baudelaire (1821 - 1867)

Arthur Rimbaud (1854 - 1891)

Victor Hugo (1802 - 1885)

Jean de la Fontaine (1621 - 1695)

Paul Verlaine (1844 - 1896)

Joachim du Bellay (1522 - 1560)

   L'Ecriture est à mon sens une quête irrépressible. Une quête de soi dans le sillage de nos pensées les plus accessibles comme les plus enfouies. Une quête de l'autre en se livrant à sa lecture, parfois à demi-mot, avec le secret espoir de goûter à cette forme de résonnance qui peut s'installer entre celui qui lit et celui qui écrit. Une quête, qui après avoir révélé à l'auteur même une vérité parfois inattendue, les conduit tous les deux aux portes de l'indicible, là où beauté rime avec mystère.

   Vous pourrez, au gré de vos envies, vous promener dans mes différentes rubriques ou même y commenter mes textes car un écrit est comme un tableau, chacun de nous le perçoit et le ressent en fonction de sa propre sensibilité.

   N'hésitez pas à consulter le site de mes amis. Ils ont à coeur de vous faire partager leurs passions, leurs émotions, et de vous offrir une pluie de perles aux reflets irisés sur une palette de mots justes.

Merci à Pierre – Jean BARANGER qui, de sa plume élégante, a déposé ce joli bouquet dans mon jardin :

Les arbres dorment encore, sous leur écorce brune.

Le Printemps viendra, quand son heure sera venue.

Il ne sert à rien de crier ou d'hurler à la lune,

Alors gardons au coin du feu, une plume ingénue.

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A Bientôt et merci de votre visite.

Ou plutôt devrais-je dire - de vos visites - car vous êtes de plus en plus nombreux et nombreuses.

J'en suis très agréablement surprise.

A ma manière, j'ai eu envie de vous remercier en vous offrant ces quelques fleurs de mon vrai jardin. Vous pourrez venir les cueillir aussi souvent qu'il vous plaira. La toile leur permet de ne jamais faner.

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"La haine n'est pas un phare dans la tempête,

juste un leurre"